L’AFP récompensée au Prix Bayeux-Calvados des correspondants de guerre —

Déjà récompensé en 2007 à Bayeux (prix photo et prix du public), Mahmoud Hams, 38 ans, se voit à nouveau attribuer le prix en photo pour « Clashes on Gaza’s border », réalisé dans une zone « d’accès très difficile et très dangereuse », qui fait partie de ces « lieux à couvrir sans endroits pour se protéger », a […]

via L’AFP récompensée au Prix Bayeux-Calvados des correspondants de guerre —

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Prix Nobel de la paix : Voici ce que gagneront Mukwege et Nadia Murad

mukwege_nadia_prix nobel_de_la_paixLe gynécologue congolais Denis Mukwege et la militante Nadia Murad, prix Nobel de la paix 2018.

Il est indéniablement vrai que  le prix Nobel apporte avant tout une grande notoriété mais il permet également aux lauréats de recevoir une importante somme d’argent. En effet, avant de décéder, en 1896, Alfred Nobel, l’inventeur de la dynamite, qui n’avait jamais eu d’enfants, a demandé que sa fortune servent à récompenser chaque année, des personnes « ayant apporté le plus grand bénéfice à l’humanité », par leurs inventions, découvertes et améliorations dans différents domaines de la connaissance.

Depuis sa création en 1901, la Fondation Nobel se charge ainsi de faire fructifier la fortune de ce généreux donateur.  Chaque année, les lauréats, se partage donc les revenus de ce capital.

                                     900 000 euros pour un Nobel

Crise oblige, cette somme a été diminuée de 20% en 2012. Alors que la récompense s’élevait depuis 2001 à 10 millions de couronnes (soit 1,12 millions euros), elle s’élève depuis à 8 millions de couronnes (environ 850 000 euros).  Un joli pactole que Denis Mukwege et Nadia Murad devront se partager à deux.

                                         Bien plus que le Pulitzer

Pour comparaison le prix Pulitzer, rapporterait aux alentours de 10 000 dollars (environ 7741 euros), la caméra d’or au festival de cannes 50 000 euros, un Oscar juste le prix de la statuette soit environ 500 dollars (387 euros). Plus modeste encore le prix Goncourt rapporterait 10 euros ( sans compter les ventes) et une légion d’honneur entre 6 et 37 euros par an.

Ces sommes sont bien souvent perçues par les lauréats. Elles leur permettent de poursuivre leurs recherches sans se soucier des aspects financiers. Mais elles sont aussi parfois reversées intégralement à des associations. En 2009, Barack Obama avait ainsi distribué l’intégralité de sa récompense à dix associations.

Jean Pierre Kayembe avec Cnews

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Coopération union européenne-RDC: ce qu’il faut savoir!

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Dans le but de communiquer davantage sur les actions du fond européen de développement FED en RDC, et sensibiliser la population congolaise sur l’appropriation des divers projets exécutés dans quelques coin du pays jusqu’ici, la COFED entendez Cellule d’appui à l’Ordonnateur national du Fonds européen de développement a  au cours d’une matinée d’échange avec la presse kinoise rendu public  un rapport annuel pour ses actions menées en 2017, lequel rapport revient largement sur les détails de chaque secteur financé et appuyé par l’UE en RDC.

La RDC fait partie des 79 pays d’Afrique, des caraïbes et du pacifique (A.C.P) qui ont signé l’accord de partenariat avec l’union Européenne, qui a fixé pour 20 ans le cadre de partenariat politique, économique et commercial, avec comme objectif la réduction et  l’éradication de la pauvreté, en vue de l’intégration progressive des pays A.C.P dans l’économie mondiale. Pour cela chaque pays signataire a désigné un ordonnateur national, chargé de le  représenter auprès de l’UE. En RDC, c’est le ministre des finances qui est désigné Ordonnateur National du Fonds européen de développement(FED), ainsi la COFED est un service technique mis en place pour assurer la gestion du FED en RDC, elle aide l’ordonnateur national à assumer ses prérogatives.

Depuis 2014, la RDC est bénéficiaire d’une enveloppe de 620 millions  d‘euros dans le cadre du programme indicatif national du 11e fonds européen de développement, pour la période allant de 2015 à 2020. Et ces fonds sont destinés à :

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  • la gouvernance (150 millions) ,
  • les infrastructures (150 millions),
  • la santé (150 millions)
  • L’environnement et l’agriculture durable( 130 millions)

Le reste sert aux appui transversaux (appui à la société civile : 12 millions, et d’autres mesures : 18 millions selon le rapport  annuel 2017 de la COFED).

 A ce jour , il est important de savoir qu’en matière d’infrastructure la COFED est intervenu :

  • dans le secteur la gouvernance, dans le cadre de l’ appuie le programme de la réforme de la justice, plusieurs millions d’ euros ont été décaissés  et orienté en grande  dans la construction et la réhabilitation des infrastructures judiciaires, entre autre la construction de l’institut national de formation judiciaire pour la mise en place d’un cadre de formation continue du personnel judiciaire ( cout : 1.8 millions d’euros), la réhabilitation des centres penitenciers de Kananga et Tshikapa (1,6 millions), la réhabilitation de la prison de LUZUMU 900.000 euros), la construction du nouveau palais de Justice à Kinshasa ( 3 millions d’euros), la construction du palais de justice de Goma ( 2,1 millions), et du ministere de la decentralisation et  affaires coutumieres MISDAC
  • en Santé : partant de la strategie nationale de renforcement du système de santé, la COFED a financé et executé la construction et la rehabilitaion des batiments suivants
  1. L’hopital general de reference de Kabinda dans la province de LOMAMI ( materiels medicals et informatiques inclus)
  2. HGR Tshilenge au Kassai Oriental
  3. La división provinciale de santé de Mbuji-Mayi au Kasai oriental
  4. HGR Mikalayi au Kasai central
  5. HGR de Musienene et Kyondo au Nord-Kivu
  6. HGR de Maereka au NK
  7. HGR de Mambassa en Ituri
  8. HGR de Tshibala au kasai central et
  9. HGR de Masuika au Kasai central
  • Dans le secteur routier, on note la rehabilitation de la route nationale numero 1 (la plus importante route qui relie l’ouest au sud-est du pays), sur le tronçon reliant Batshamba et Tshikapa ; mais aussi la rehabilitation des voiries de Goma, dont les travaux sont déjà realisés à 85%. Dans le meme registre s’ajoute le PANAV, programme d’appui à l’amelioration des voies fluviales et lacustres en RDC, sur quoi la COFED appuie les travaux de balisage et la mise en place de la nouvelle carte de navigation.

Au regard de tout ceci, il sied de rappeler que le renforcement de l’unité national du pays passe notamment par les infrastructures viables et un système de transport stratégiquement cohérent et complémentaire, mais fort est de constater que tous ces millions investis dans les différents secteurs en vue d’appuyer le développement durable sont en quelque sorte déboursés pour rien car il manque une pérennisation de tous ces projets et aussi une appropriation de ces acquis par la population, principale bénéficiaire. L’exemple le plus frappant reste encore le système d’assainissement de la ville province de Kinshasa, dont la continuité de l’exécution du projet est en souffrance, pour ne citer que cela. Il revient ainsi au gouvernement congolais d’assurer cette pérennisation par des stratégies de sensibilisation de la population, mais aussi la mise en place des moyens nécessaires pour l’entretien de ces infrastructures.

© Joel BOTAMBA

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Les 10 principes du droit à l’information

Pour souligner la troisième Journée internationale du droit à l’information, le Projet de justice
Société ouverte présente aujourd’hui les 10 principes du droit à l’information qui ont été établis
avec des organismes partenaires.
1. L’accès à l’information est un droit universel.
Chacun peut demander de l’information, peu importe sa nationalité ou sa profession. Il ne devrait
pas y avoir d’exigences en matière de citoyenneté, et il ne devrait pas être nécessaire de justifier
la demande d’accès à l’information.
2. L’accès est la règle; le secret est l’exception.
En principe, toute l’information détenue par les organismes gouvernementaux est publique. Ces
organismes ne peuvent refuser de la communiquer que pour un nombre limité de motifs légitimes
énoncés dans une loi internationale et codifiés dans une loi nationale.
3. Le droit s’applique à tous les organismes publics.
Le public a le droit de recevoir l’information en possession des institutions financées par les fonds
publics et des organismes privés exerçant des fonctions publiques, comme les fournisseurs d’eau
et d’électricité.
4. La procédure de demande devrait être simple, rapide et gratuite.
La procédure de demande devrait être simple. La seule exigence devrait consister à fournir son
nom, son adresse et la description de l’information demandée. Les demandeurs devraient pouvoir
présenter une demande par écrit ou oralement. L’information devrait être fournie immédiatement
ou à l’intérieur d’un court laps de temps. Le coût ne devrait pas dépasser ce qu’il en coûte pour
reproduire les documents.
5. Les responsables ont l’obligation d’aider les demandeurs.
Les fonctionnaires devraient aider les demandeurs à faire leurs demandes. Si la demande n’est pas
présentée au bon organisme public, les fonctionnaires devraient la transférer à l’organisme
concerné.
6. Les refus doivent être justifiés.
Les gouvernements ne peuvent soustraire l’information à l’accès public que si la communication
cause un préjudice démontrable à des intérêts légitimes, comme la sécurité nationale ou la
protection des renseignements personnels. Ces exceptions doivent être définies clairement et
expressément dans une loi. En cas de refus de communiquer l’information, les raisons doivent être
indiquées clairement.
7. L’intérêt public a préséance sur le secret.
L’information doit être communiquée lorsque l’intérêt public prévaut sur le préjudice éventuel
que causerait sa communication. Il existe une forte présomption que l’information concernant les
menaces à l’environnement, à la santé ou aux droits de la personne, et l’information révélant de la
corruption, devrait être communiquée, étant donné le grand intérêt public que représente cette information.

8. Chacun a le droit de faire appel d’une décision défavorable.
Tous les demandeurs ont droit à un contrôle judiciaire efficace et rapide lorsqu’un organisme
public refuse ou omet de communiquer de l’information.
9. Les organismes publics devraient publier systématiquement l’information de base.
Tout organisme public devrait rendre facilement accessible l’information concernant ses fonctions
et ses responsabilités, sans qu’il soit nécessaire d’en faire la demande. Cette information devrait
être à jour, claire et présentée dans un langage simple.
10. Le droit devrait être garanti par un organisme indépendant.
Un organisme indépendant, comme un protecteur du citoyen ou un commissaire, devrait être
établi pour examiner les refus, faire de la sensibilisation et défendre le droit d’accès à
l’information.
S’appuyant sur le droit comparé et les pratiques des quelque 60 pays qui ont des lois sur l’accès à
l’information, ces principes fournissent un ensemble de normes claires pour guider les groupes de
la société civile et les législateurs dans leurs efforts pour accroître l’accès du public à l’information.
Alors que les militants de l’accès à l’information célèbrent la Journée internationale du droit à
l’information, ils peuvent prendre la mesure de plusieurs réalisations importantes qui ont fait
progresser l’accès à l’information en tant que droit fondamental de la personne en 2005 :
• La Commission interaméricaine des droits de l’homme reconnaît explicitement le droit des
citoyens d’avoir accès à l’information détenue par le gouvernement.
• Le Conseil de l’Europe a annoncé en mai 2005 qu’il commencerait l’élaboration d’une
convention sur l’accès aux documents officiels; ce serait le premier traité international qui
reconnaîtrait le droit à l’information en tant que droit de la personne.
• En septembre, 63 pays avaient des lois sur l’accès à l’information. C’est cinq fois plus qu’il y a
15 ans : seulement 12 pays avaient alors de telles lois.
Le Projet de justice Société ouverte a contribué à ces efforts internationaux en faisant la
promotion du droit d’accès à l’information, en aidant les ONG et les organismes gouvernementaux
à rédiger et à appliquer des lois, en surveillant la transparence des gouvernements et en
participant à des litiges nationaux et internationaux afin de défendre et de promouvoir le droit d’accès à l’information.

paru sur le blog : adelcacom.wordpress.com 

Le Président Joseph Kabila sort du silence

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Le Président de la RD Congo, SE Joseph KABILA, © Justin Makangara/ICDRC 

Le Président Joseph Kabila, s’est exprimé ce vendre à la surprise générale de tout le monde devant la press congolaise et étrangère après un long silence sur toutes les questions politiques, diplomatiques et droits de l’homme en révenant sur la situation au Kasai mais aussi en faisant le bilan des opérations sur la sécurisation de la république, qui l’est à 85% a informé à la presse.

il a eu à passer en revu des questions lui adresser, par exemple pour la liberté d’expression et la presse, mais également la protection de la constitution qu’il pourrait s’approprié si possibilité, car il a demontrer combien il a été le seul à battre campagne pour la validation de la bible de notre nation quand les autres, se reposer calmement dans les bustrots de la ville.

Quant à la question sur le processus electoral : Pour ce qui est de la présidentielle attendue pour la fin de l’année, Joseph Kabila s’est voulu rassurant. « Le processus électoral est résolument engagé », a affirmé le chef de l’Etat. et croit en la CENI, comme le capitaine pour la reussite du processus Electoral.

 

 

 

 

 

 

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TP MAZEMBE ET SUPERSPORTS SANCTIONNÉS

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Suite aux incidents survenus à la fin du match Supersports United – TP Mazembe, finale retour de la Coupe de la Confédération Total, joué le samedi 25 novembre 2015 au stade Lucas Moripe de Pretoria, notamment l’invasion de la pelouse par des supporters du TP Mazembe, le jury disciplinaire de la CAF a infligé des sanctions aux deux équipes.

Supersports écope d’une amende de 15.000$ US (dollars américains) en application des articles 83 et 151 du code disciplinaire du fait des failles constatées dans le dispositif de sécurité.  Un rappel sur les conditions de sécurité a été fait au club qui pourrait, si pareil incident se répétait, jouer des matchs à huis-clos.

Quant au TP Mazembe, il écope d’une amende de 5000$ US (dollars américains) pour le comportement de ses supporters et ce en application des articles 82 et 83 du Code disciplinaire de la CAF.

TP Mazembe a remporté samedi dernier l’édition 2017 de la Coupe de la Confédération Total après un match nul vierge face à Supersports United. A l’aller à domicile le club congolais s’était imposé, 2-1.

source

Afrique #1

AFROpoésie

Fabienne Passament (1973-)– Partenaire d’AFROpoésie – FRANCE/COTE D’IVOIRE

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Photo © Justin Makangara

Du souvenir présent de l’Afrique natale,

Je suis l’orchidée blanche au parfum sombre et lourd

Et s’éveille en mon cœur la quiétude fatale,

La douceur du climat où l’humidité sourd.

 

Je suis l’orchidée blanche au parfum sombre et lourd

De forêts où les arbres sont des cathédrales,

La douceur du climat où l’humidité sourd

Étouffe le désert, apaise l’astre pâle.

 

De forêts où les arbres sont des cathédrales,

Je suis les cris de femmes à la tombée du jour :

Étouffe le désert, apaise l’astre pâle,

Des hommes le murmure et tam-tams des tambours.

 

Je suis les cris de femmes à la tombée du jour,

De la terre à la nuit, il s’élève le râle

Des hommes le murmure et tam-tams des tambours,

Musique et grondement des rumeurs ancestrales.

 

De la terre à la nuit…

Voir l’article original 65 mots de plus

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#Byhav.com: valorise le made in Africa

Mossekablog

M. Laurent Nzau, Directeur de Byhav.com, Crédit photo : Bernardzeus et Derickshowtime

“Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années”, ainsi disent les sages. Nul doute que Laurent Nzau, étudiant en architecture et ses associés, tous étudiants à l’International Universty of East Africa, font partie de ces âmes. Grace à leur site web, la connexion entre le public africain et ses magasins préférés devient chose facile.  Ayant compris les difficultés auxquelles faisaient face les consommateurs et producteurs africains notamment en ce qui concerne l’achat des produits locaux pour les premiers et l’écoulement de leurs produits pour les seconds, ces jeunes entrepreneurs ont créé un site permettant d’apporter une solution  rapide aux soucis précités. Byhav.com est le nom de ce bijou.

Des produits de qualité à des prix réduits

Byhav vient de la contraction de deux mots anglais, « Buy » et « have » qui signifient acheter et avoir. L’idée derrière ces deux mots est qu’en cliquant sur un article Byhav, vous l’obtenez directement. Byhav.com se veut être un réseau social culturel mais également un site web de vente en ligne visant le marché Est Africain. Le site peut également atteindre certains pays au-delà de l’Afrique Orientale. Byhave.com est opérationnel au Rwanda, au Burundi, en Tanzanie et au Kenya ainsi qu’en République Démocratique du Congo et au Soudan.

Grâce à son ordinateur, sa tablette, son smartphone, il est désormais possible de se procurer, en un clic, les produits des designers africains. Grace à Byhav.com, vous pouvez donc visiter tous les magasins Est Africains tout en étant dans votre salle de sport, dans votre bureau et même dans votre chambre. Et cela, dans un intervalle de temps réduit et à des prix défiant toute concurrence. Les articles Byhav sont donc disponibles à des prix variant entre 1000 et 999 999 shillings ougandais (0,2 dollars américains et 273,7 dollars américains).

Make Africa great again

IMG-20171002-WA0009L’objectif visé par les créateurs de ce site web dont le lancement aura lieu le 1 décembre est la création d’une liaison entre  tous les magasins d’Afrique de l’Est. Le site se spécialise également par un service de livraison rapide, 30 minutes après la commande, dans les capitales comme Kinshasa, Kigali, Kampala, Nairobi et dans plusieurs autres grandes villes. Byhav.com permet donc la valorisation des produits made in Africa ainsi que leurs créateurs.

Dans leur initiative louable, ces jeunes entrepreneurs font face à plusieurs difficultés. Le plus grand souci auquel ils sont confrontés est notamment lié à leur nom qui s’apparente à celui d’un site européen, Byhave. Toutefois Byhav.com se distingue de ce site par le fait que le «e » se trouvant à la fin de « have » est supprimé pour donner « hav ». Le site est donc Byhav.com et non Byhave

Quelle que soient la teneur des problèmes auxquels ils sont confrontés, nos jeunes entrepreneurs ne comptent pas baisser le bras. Ils ambitionnent de faire de la vente en ligne, en Afrique de l’Est, un moyen facile de s’approvisionner, accessible par tous, riches et pauvres car dans leurs veines ne coule qu’une seule idée, « Make Africa great again ».

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#Urgent : Incendie de l’immeuble «Empire» à Kinshasa

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La maison commerciale dénommée «Empire» située au croisement des avenues Libération [Ex-24 novembre] et Mont des arts dans la commune de la Gombe à Kinshasa, a pris feu vendredi 13 octobre, dans la mi-journée aux environs de 11h30.

Le feu a commencé, d’après un témoin, au premier niveau de l’immeuble et a atteint, dans les minutes qui ont suivi les deux autres niveaux.

En effet, ce centre commercial appartenant au groupe libanais Congo Futur, abrite en son sein tout ce qu’il faut pour la maison : ameublement, électroménager, matériaux de construction, sanitaires, cuisines, carrelages… Visiblement, la flamme de feu semble n’avoir épargné rien de tous ces biens d’un investissement important.

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MEDIATHON DE JEUNES ENTREPRENEURS ET PORTEURS DE PROJETS POUR L’INNOVATION DANS LES MEDIAS NUMERIQUES

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L’Organisation Internationale de la Francophonie organise du 29 Septembre au 1er Octobre prochain, à Kinshasa (République Démocratique du Congo), la 4ème édition de son hackathon d’innovation dans les médias. Organisé en partenariat avec le Ministère des Postes, Télécommunications et Nouvelles technologies de l’Information et de la Communication, ce concours d’innovation dans le secteur de la production et de la diffusion d’information se tiendra selon une formule inédite.

Contrairement au trois premières éditions, le médiathon de Kinshasa réunira exclusivement des équipes déjà formées et à l’œuvre sur des projets de création de « jeunes pousses ».

@JustinMakangara